Qu’est-ce que les pertes blanches ? La leucorrhée ou perte blanche, est un écoulement provenant de l’appareil génital féminin, mais ne contenant pas de sang. Lorsque cet écoulement est exagéré, la leucorrhée devient visible au niveau de la vulve et tâche les sous-vêtements.Les leucorrhées sont la plupart du temps naturelles. En effet, elles sont le témoin de la transformation physiologique de la cavité vaginale, du col de l’utérus ou de l’utérus lui-même.Parfois les leucorrhées sont anormales. Elles sont dans ce cas, en grande parties dues à des causes infectieuses ou à des processus pathologiques propres à l’appareil génital féminin. Connaître les leucorrhées physiologiques Les leucorrhées naturelles ou pertes blanches, sont des sécrétions qui ont un aspect blanc m...
La dysfonction érectile se définie comme, l’incapacité permanente ou récidivante à obtenir et/ou à maintenir une érection suffisante pour la réalisation de l’acte sexuel, pendant au moins 3 (trois) mois. La dysfonction érectile a plusieurs appellations dans le langage courant : impuissance sexuelle, érection molle, insuffisance sexuelle, trouble de l’érection, panne sexuelle, etc. Pas de relation sexuelle satisfaisante La personne qui se plaint d’une dysfonction érectile présente l’une des deux difficultés suivantes voire les deux à la fois : – soit elle est dans l’impossibilité durable d’obtenir une érection valable (elle perd la rigidité de son pénis au bout de quelques instants, c’est-à-dire qu’elle débande vite) ...
La dyspareunie est dans ce cas dite superficielle. La douleur apparaît au début de la pénétration et est ressentie au niveau vulvaire (vulve, clitoris), mais également au niveau du périnée. Ce type de dyspareunie s’observe dans de multiples circonstances telles que :
Le rythme des rapports sexuels est une question qui revient souvent dans la vie des hommes et des femmes. Cette question sur le sexe divise souvent les partenaires. Chacun définit un seuil à partir duquel il considère la fréquence des rapports sexuels comme une addiction au sexe. Jetons un regard sur les études menées en ce sens au sein de la gente masculine, et ce d’autant plus que chez les hommes la prostate y joue un rôle majeur. Existe-il un lien entre rapports sexuels et cancer de la prostate ? Les académies de médecine conseillent généralement trois (3) rapports sexuels par semaine. Ce chiffre de 3 rapports sexuels par semaine est fourni par les urologues. les Urologues sont les médecins spécialistes des voies urinaires de l’homme dont fait partie la prostate. Ils au...
La concentration en substances cancérigènes dans les cellules de la prostate, accroît le risque de voir survenir à moyen ou long terme un cancer de la prostate. Les urologues se sont aperçus que l’éjaculation masculine contribue à réduire le nombre de cellules